Florence est l'une des villes où les transactions immobilières n'ont pas augmenté cette année / Pixabay
Florence est l'une des villes où les transactions immobilières n'ont pas augmenté cette année / Pixabay

La croissance du secteur résidentiel au premier trimestre de l'année ne se reflète pas uniformément dans les principales villes italiennes. En effet, selon les chiffres du rapport trimestriel de l'OMI, l'augmentation des transactions dans les huit principaux centres a été réduite à +0,7 %, contre +3,4 % au quatrième trimestre 2017.

Des modèles inégaux dans les différentes villes. La croissance significative de Naples (+11,8%), qui a enregistré sa quinzième hausse consécutive, s'est accompagnée de hausses beaucoup plus faibles à Turin (+3,9%), Milan (+0,9%) et Palerme (+1,7%).  D'autre part, nous trouvons des taux négatifs à Gênes (-3,0%), Florence (-1,1%), Rome (-1,9%) et Bologne (-2,7%).

Si l'on analyse l'évolution des ventes par rapport à la surface moyenne des logements, on constate que la croissance n'est enregistrée que pour les logements jusqu'à 50 m2 (+8,2%) et pour ceux compris entre 85 m2 et 115 m2. Par contre, pour les logements d'une superficie de 50 m2 à 85 m2, il y a eu une diminution de 1,2 %, comme dans le cas des logements entre 115 m2 et 145 m2.